Le Sida africain

Un journaliste scientifique, Neville Hodgkinson, écrit en octobre 1993 dans le Sunday Times (voir la vidéo "Sida, le doute") qu'il s'est rendu en Afrique pour y constater l'ampleur de l'épidémie du Sida, dont il avait tant entendu parler par les médias.

Il a été étonné de ne rencontrer en fait qu'une aggravation des maladies déjà existantes, liées à la famine et la malnutrition qui sont présentes en Afrique depuis que ce continent souffre de ce genre de problèmes à cause de notre politique colonialiste.

Comment s'étonner que des gens qui meurent de faim voient diminuer la capacité de leur système immunitaire ?

Cela n'a rien de nouveau.

Il faut ajouter à cela que les médicaments se vendent dans ces pays sur les marchés publics de façon anarchique, sans aucun contrôle, exactement comme vous achèteriez une courgette, et ce au grand profit des firmes pharmaceutiques.

Ces pauvres gens affamés, donc très malades, ont été persuadés par la propagande officielle que les médicaments pouvaient les soigner.

Ils achètent donc, avec espoir, des médications tels que des antibiotiques qui vont complètement effondrer leur système immunitaire déjà largement déficient.

Le même constat peut être fait au niveau des campagnes de vaccination que l'on pratique là-bas sans distinction et qui ont également un effet immunodépresseur dévastateur sur ce peuple affamé, donc très affaibli.

Si nous voulons réellement aider ces gens, il faut arrêter de voler leurs terres et corrompre les "politiques" locaux, pour cultiver du café, du cacao (2 drogues dont nous pouvons parfaitement nous abstenir) et de la nourriture pour notre bétail.

Nous mangeons de toute façon trop de viande et nous pouvons même facilement nous en passer, au grand bénéfice de notre santé.

Alors seulement, quand nous leur aurons rendu leurs terres, ils pourront manger à leur faim et être en bonne santé.

Aucun vaccin, aucun traitement chimique quel qu'il soit ne guérira jamais de la famine. Au contraire, leur utilisation va jusqu'à provoquer une déficience du système immunitaire (Sida), qui se traduit par une aggravation généralisée des maladies déclenchées par la famine... entraînant une mort encore plus rapide.
 


Dessin de René Bickel (coordonnées voir "Edito")
 

Parce qu'on a décidé qu'une majorité africains étaient "séropositifs"et que la théorie veut que si l'on est "séropositif", on meurt du Sida, le diagnostic partisan reprend ici à nouveau son plein droit !

Et, comme dans l'exemple de l'héroïnomane, si un africain meurt de dysenterie aggravée de tuberculose et qu'il est "séropositif", on dira qu'il est mort du Sida. Alors que s'il est "séronégatif", on dira qu'il est mort de dysenterie et de tuberculose...

Pourtant, dans les deux cas, ils sont morts de l'effet conjugué de la famine et des traitements médicamenteux qu'on leur impose, en particulier les antibiotiques mais aussi les vaccinations aveuglément administrées.

Nous comprenons donc mieux comment les statistiques officielles sur la relation entre le Sida et le HIV sont gonflées artificiellement par un diagnostic incorrect, truqué par les recommandations des scientifiques mangeant au râtelier de l'industrie.

C'est pourtant bien à cause des traitements médicaux agressifs, dont les antibiotiques et les vaccinations sont les meilleurs exemples, que la situation de l'Afrique, déjà dramatique, s'aggrave, et ce que les malades soient "séropositifs" ou non.

L'on donne bonne conscience au bon peuple en organisant des collectes pour envoyer là-bas des tonnes de médicaments toxiques… qui bien entendu rapportent des sommes énormes aux firmes pharmaceutiques.

"A votre bon cœur m'sieurs, dames !"

Comment ne sont-ils pas encore morts de honte ?

Mettons-nous un instant à leur place : pourquoi chercher à changer cette aubaine ?

D'un côté, nos aimables industriels volent les richesses de ces peuples, qu'ainsi ils affament, pour nous fournir à grands coups de pub un "confort" inutile et artificiel.

De l'autre côté, ces gentilles firmes trouvent encore le moyen de s'enrichir sur la misère et les maladies de ces pauvres gens.

"Vive le Sida africain" crient certainement les marchands prospères de la mort programmée.

Nous pourrions déjà fortement influer dans le bon sens en essayant d'appliquer au mieux ce précepte de Gandhi "Vivre simplement, pour que simplement d'autres puissent vivre !"

Supprimer la viande de notre alimentation est déjà un bon pas et est la base d'un comportement solidaire avec les pays du tiers-monde.

Rappelons-le, Gandhi était végétarien et ce n'est pas le seul personnage célèbre dans le cas (liste sur notre site http://danvkx.free.fr ).