Différence entre la séropositivité et le Sida

Voilà pourquoi, s'il n'y avait pas ce fameux diagnostic partisan (dont vous avez, j'espère, maintenant bien compris le mécanisme), il serait facile de démontrer que la fameuse théorie HIV = Sida est fausse.

Pour bien cerner la différence, retenons ceci :

La "séropositivité" est le résultat d'un test qui suppose que le rétrovirus HIV incriminé a été présent dans le corps à un moment donné. Ce test n'est pas du tout fiable, de plus il ne détecte pas le rétrovirus lui-même. Etre "séropositif" ne veut pas du tout dire avoir le Sida. La théorie officielle prétend que la "séropositivité" entraîne le Sida, mais tout tend à démontrer exactement le contraire.

Le Sida, comme nous l'avons vu plus haut, n'est pas une maladie, mais un ensemble de maladies regroupées sous une même appellation. Cet ensemble de maladies, appelé syndrome, se caractérise par un effondrement du système immunitaire. Il apparaît que, pour nos contrées, les 2 causes les plus importantes sont les drogues et les antibiotiques en usages répétés.

La théorie du rétrovirus n'est pas cohérente pour expliquer ce syndrome vu :

Le nombre de personnes "séropositives" non malades du Sida, qui ne se droguent pas et ne prennent pas les médicaments associés,

Le nombre de personnes "séropositives" ayant souffert d'un Sida grave et s'étant guérie uniquement en arrêtant les médicaments prescrits. Ces personnes ne sont pas reprises dans les statistiques, notamment car elles ne retournent bien entendu plus dans les hôpitaux où elles se sont fait empoisonner.

Le nombre de personnes "séronégatives" étant mortes du Sida à cause, notamment, des drogues et des antibiotiques. Ces personnes ne sont pas reprises dans les statistiques car elles ne sont pas diagnostiquées comme ayant le Sida.
 


 

Cela me fait fortement penser à la phrase de B. Disraeli : "Il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les mensonges maudits et les statistiques".
 


Dessin de René Bickel (coordonnées voir "Edito")
 

Nous voyons donc que la "séropositivité" et le Sida sont liés uniquement par la conviction que l'une entraîne l'autre et par le diagnostic partisan que cette croyance fait prononcer.

Toutefois, ce sont 2 choses totalement différentes : d'un côté la cause supposée, de l'autre un ensemble de maladies.

C'est la base à retenir si l'on veut bien comprendre ce syndrome...

D'après de grands scientifiques, spécialisés dans les rétrovirus, dont le Pr Peter Duesberg (découvreur de cette classe de virus), tous les hommes et tous les animaux sont porteurs de rétrovirus semblables au HIV sans que cela ne cause aucun problème de santé.

Devant l'opposition d'une partie des scientifiques et vu le nombre de cas de personnes "séronégatives" ayant les symptômes du Sida, le diagnostic partisan devint donc petit à petit la solution la plus commode à cette contradiction... en effet, au lieu de devoir prouver pourquoi des personnes "séronégatives" meurent aussi du Sida, on prétend simplement qu'elles sont mortes d'autre chose… et on continue à vendre impunément des poisons violents dont la rentabilité n'est pas à démontrer.

En effet, quoi de plus rentable que d'entretenir ou de déclencher des maladies avec des produits censés les soigner et vendus très chers.

Et cela ne s'applique pas qu'au Sida, toutes les maladies sont concernées.

Par exemple, les traitements contre le cancer, des chimiothérapies comme pour le Sida, sont tout aussi toxiques et meurtriers.

Une seule réelle solution : supprimer les causes des maladies donc arrêter le plus vite possible, en tenant compte des dépendances engendrées, les traitements médicamenteux (sauf rares cas où le médicament remplace la fonction d'un organe détruit ou amputé) et se mettre à vivre le plus sainement possible.

Pour cela étudier attentivement les préceptes de l'Hygiénisme qui sont réellement uniques pour arriver à ce but.

Un autre exemple de contradiction flagrante est celui du sarcome de Kaposi, qui touche essentiellement la communauté homosexuelle.

Au début, les scientifiques étaient persuadés qu'il s'agissait de la forme la plus formelle du Sida.

Pas d'erreur possible, c'était bien là le travail du HIV.

Puis, l'apparition de plus en plus fréquente de cette maladie chez des homosexuels "séronégatifs" a commencé à gêner leur petite théorie...

Finalement, c'est le département des drogues aux Usa qui a établi un rapport certain entre ce sarcome et la consommation régulière de poppers (nitrite d'amyle), drogue utilisée par une partie de la communauté homosexuelle.

La communauté scientifique a bien essayé de nier, mais l'évidence était là.

C'est donc à contre-coeur que de "grands" savants ont dû admettre leur erreur.

Je vous laisse deviner quel est aujourd'hui le diagnostic pour le sarcome de Kaposi, suivant que la victime est "séropositive" ou non...

Maintenant, j'ouvre une petite parenthèse importante : même s'il s'avérait que rétrovirus et "séropositivité" sont présents dans tous les cas de Sida (ce dont je doute, car absolument tout tend à prouver le contraire), le rétrovirus ne serait de toute façon pas la cause de la maladie, mais sa conséquence.

Parce que les causes sont ailleurs (voir chapitre suivant), le rétrovirus serait alors à l'image des microbes, dont Pasteur reconnaissait à la fin de sa vie "Toutes mes recherches ont été vaines, c'est Claude Bernard qui a raison, le microbe n'est rien, le terrain est tout".

Le développement des microbes résulte de notre degré d'intoxication et/ou d'affaiblissement.

Ce degré va dépendre de notre manière de vivre, qui nous est hélas souvent directement ou indirectement imposée.

Il est très difficile de se libérer de l'emprise du Pouvoir, mais une bonne prise de conscience aide déjà énormément à améliorer son existence et celle de ses proches, ne fut-ce qu'en vivant plus sainement, donc en refusant catégoriquement les médicaments inutiles (l'écrasante majorité).

Je ferme ici cette parenthèse, car il serait vraiment étonnant que les rétrovirus jouent un rôle réel dans le processus des maladies.

La "séropositivité" n'est donc pas un élément déterminant dans le développement des maladies liées au Sida, et si cela était déjà simplement mis à l'étude, on pourrait alors enfin se pencher sur les vraies causes pour réellement progresser.

Hélas, une simple mise à l'étude par des scientifiques indépendants, c'est trop demander au monde du pouvoir et de la finance.

Il y a trop de choses à remettre en cause et surtout trop d'argent à perdre pour cette industrie qui prospère sur la maladie et non sur la santé.