La nocivité des traitements

Et nous voici arrivés au pire !

Je vais extrapoler à partir de 2 exemples extrêmes, pour bien expliquer le phénomène.

Prenons 2 personnes "séropositives" sous contrôle médical "traditionnel".

Appelons-les Christine et Alain.

Christine a 20 ans et est en bonne santé.

Lors d'une analyse sanguine, sa "séropositivité" est mise à jour (du moins d'après le test...)

Bien entendu, elle a eu des aventures et l'une d'elles, lui fait-on croire, a certainement provoqué la transmission du rétrovirus.

Le monde autour d'elle s'écroule.

Elle en est maintenant sûre, elle va mourir et le stress qu'elle ressent déprime bien évidemment son système immunitaire (il le serait à moins).

Christine a peur, elle veut vivre mais se sent condamnée.

Elle fait confiance à la médecine et comme elle se sent de plus en plus faible (il y a de quoi déprimer, non ?), elle prend de l'Azt qu'on lui a conseillé pour combattre le rétrovirus.

Sa seule chance, croit-elle.

Avec son nouveau traitement, elle a des hauts et de bas, mais bientôt la maladie se fait de plus en plus pressante et elle finit par mourir du Sida à l'hôpital, dans un mélange horrible d'infections diverses dues à... nous verrons cela plus loin.

Alain a lui 30 ans, il est homosexuel, consomme de l'héroïne ainsi que d'autres drogues et a déjà beaucoup souffert de diverses infections soignées aux antibiotiques.

Lors d'une analyse sanguine, Alain est déclaré, d'après le test, "séropositif".

Bouleversé, il s'en remet aux médecins qui lui impose une cure de désintoxication de l'héroïne ainsi qu'un traitement à l'Azt.

Dans un premier temps, Alain va beaucoup mieux (il ne prend plus d'héroïne) et il reprend espoir.

Mais ses défenses immunitaires finissent par s'effondrer et voilà qu'il meurt à l'hôpital dans d'horribles souffrances calmées, tant bien que mal, avec des drogues légales de plus en plus fortes (médicaments).

Voilà donc, pour la science financière telle que nous la connaissons, la preuve évidente que le HIV provoquent le Sida.

Mais vous a-t-on dit que l'Azt avait été interdit dans le traitement du cancer (pour lequel il avait été initialement conçu) tellement il est toxique ?

Que ses effets secondaires ressemblent aux symptômes du Sida ?

Si l'on donne ce médicament à n'importe quelle personne en excellente santé, elle va rapidement mourir du Sida, quelle soit "séropositive" ou non !
 

 
Dessin de René Bickel (coordonnées voir "Edito")
 

Et l'on veut nous faire croire que ce produit hautement toxique serait capable de guérir alors qu'il peut tuer facilement des personnes en bonne santé ?

De toute façon, l'industrie pharmaceutique ne prétend rien du tout, elle donne ces médicaments à titre expérimental... voyez l'état des cobayes après !

C'est là le scandale (qui touche d'ailleurs le monde des médicaments en général) : dans certains cas, l'Azt provoque le Sida alors que la personne n'était même pas malade et dans d'autres cas, il achève rapidement des personnes déjà bien mal en point.

Dans l'exemple de Christine, l'annonce de sa "séropositivité" a déclenché un état dépressif qui a commencé à la miner, et c'est ensuite l'Azt qui a causé sa mort, car rien chez elle ne laissait présumer un effondrement de son système immunitaire, à part la conviction "scientifique" que le HIV provoque le Sida.

Chez Alain, l'arrêt de la drogue a d'abord provoqué un soulagement, un mieux être qui aurait pu le sauver !

Seulement, l'Azt a eu vite fini d'achever la résistance de son système immunitaire déjà bien entamée par la drogue.

L'Azt et toutes les autres thérapies chimiques liées au Sida sont donc des éléments qui permettent d'affirmer que la "séropositivité" entraîne l'effondrement du système immunitaire, ce qui gonfle d'autant les statistiques truquées...

Si l'on doit donc ici admettre que la "séropositivité" entraîne bien le Sida, ce n'est pas à cause de la présence du HIV, mais uniquement à cause du traitement médical lui-même qui aggrave ou provoque la déficience du système immunitaire !

La trithérapie est trois fois plus dangereuse.

En effet, elle fait appel à 3 médicaments très toxiques dont bien entendu l'Azt, véritable mine d'or pour son fabricant.

Vous a-t-on dit que les personnes (présumées) "séropositives", qui sont celles que l'on appelle les "survivants à long terme", n'ont pas suivi le traitement ou l'ont arrêté ! (voir dans les références "La mafia médicale" de Guylaine Lanctôt)

Et n'oublions pas que les tests de dépistage de "séropositivité" sont loin d'être fiables et donc que les erreurs sont nombreuses.

Par exemple, certaines maladies bénignes ou non ou certains traitements, etc... peuvent fausser le résultat de ces "dépistages".

Enfin, ces tests, basés sur des suppositions, ne détectent pas du tout de rétrovirus, mais simplement la trace d'un éventuel passage.

Une sacré loterie… de la mort !

Il est donc plus que vraisemblable que des personnes soient mortes du Sida à cause du traitement, alors qu'elles n'étaient même pas "séropositives" !

Le Pr Peter Duesberg l'a d'ailleurs bien dit : "Azt = Sida sur ordonnance".

Nous serions également bien étonnés d'apprendre combien parmi nous sommes "séropositifs" au test sans le savoir et sans que cela ne gêne aucunement le déroulement de notre vie.

Il vaut d'ailleurs bien mieux ne pas le savoir, car cela ne absolument change rien !

Le premier réel danger de la "séropositivité" (je ne parle pas ici du Sida) est l'effet psychologique que provoque l'annonce de cette "sentence", puis suit le traitement médical meurtrier.

J'ai trouvé dans un bêtisier de la sécurité sociale, un lapsus révélateur : "Le malade est décédé sous l'action efficace des médicaments."

Oh combien cela est vrai et pas seulement dans le domaine du Sida !